Velo aventures au Québec
Verendrye |
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Lors de ma plus récente visite en velo (la route verte pasasant par l'accotement
de la route) j'avais tout anticipé auparavant, et pourtant, malgré avoir fait le même trajet plusieurs fois , j'en suis estomaché
n'ayant pas prévu les résultats. Malgré ce a quoi je m'attendais, faut bien comprendre que la surprise fût heureuse malgré
le fait que l'éffort pour parvenir fût plus ardu qu'a l'habitude...J' aborde donc le parc La Vérendrye par le sud m'attendant
a faire un trajet sans remous majeurs sachant bien que la route traverse une serie de collines mais surtout des lacs a faire
rêver des campeurs qui s'hébergent d'ailleurs en petites communautés sur les bords pour le temps d'une pêche et peut être
un baignade .La surprise fût de réaliser que le parc est assez valloneux pour me causer de menus ennuis considerant mes 42
ans bien sonnés a rien accomplir sauf pédaller comme un type de l'age d'or et d'écrire sur l'aventure qui le plus souvent
est assez monotone pour rendre tout commentaire superflu. Cette fois çi je me trompes puisque enfin je décide d'ouvrir les
yeux pour entrevoir ce qu'il y'a de part et d'autre de la route. Je découvre donc une faune nombreuse qui comme des spectaturs
a un match de foot regardent tout bêtement le trafic et malheureusement pour moi quittent précipitamment avant que j'ai pût
faire une identification formelle. Malgré tout, l'aventure est plaisante même si un soleil de plomb me rends un peu lethargique.
Sauf que je ne veut me risquer a prendre les routes grevellés pour voir l'audience de plus près de peur de tomber malcontreusement
sur un spectateur plus bélligerent que la moyenne.
Le lendemain après un parcours des plus incertains a aller d'un chemin a
l'autre (incluant une visite de ce chemin si intriguant avec panneau indicateur en place depuis une vigntaine d'années indiquant
"route barré" et d'une réserve plus au nord), la sortie nord du parc s'annonce comme la rédemption tant recherché et devient
l'occasion d'une pseudo célebration que j'éffectue a la station service/restaurant immediatement au nord lorsque je commande
un met de choix, soit une frite sauce italienne. Malgré le fait que je suis sorti du désert vert, je dois toujours continuer
vers le premier hameau qui est Louvicourt pour me ravitailler et se trouve a plus de 20Km plus au nord .
Malgré le fait que je semble avoir vaincu le désert vert, je me sens plutôt
comme un vaincu n'ayant pas atteint le but que sont ces collines au nord est du parc.N'acceptant pas l'échec, un parcours
des plus incertains m'attends puisque l'alternative que j'ai choisi pour atteindre ces monticules qui m'intriguent passe par
des routes forestieres a l'est de Senneterre qui est situé a 40 Km plus au nord qui est le dernier point de ravitaillement
puisqu'il n'y a aucun village pour environ 200 km's et aucune route directe pour s'y rendre. Je dois donc confronter le vrai
désert vert par des routes peu passantes et traverser des ponts a une voie sans garde-fou afin d'atteindre des collines que
j'entrevoya lors de mon premier passage sur le chemin menant a Press qui est un petit hameau avec une population permanante
d'une personne qu'est Arthur qui a tendance a passer l'année la bas vivant de la pêche au lac a quelques centaines de mêtres
plus a l'est de sa cabane.
Malgré le fait que les cartes topo indiquent des collines sans topographie marquée qui ne culminent
pas a plus de 700 mêtres, je ne pût qu'être surpris a la vue de loin de ces collines qui s'élevent de l'horizon comme des
formes qui se démarquent nettement de la monotonie environnante. De plus les photos satellites sur Google ( la section cartes
"maps") laisse sous-entendre que la topographie est accentué avec une démarcation nette entre collines qui font figure de
montagnes en conséquence et non de simples vagues. Je me laissa leurré en conséquence vers ces terres inhospitalieres aux
multiples surprises pour l'aventurier infortuné qui a le malheur de rencontrer quelques un des habitants permanents incluants
les énormes mouches noirs (simulies) qui traquent inlessablement leurs victimes provoquant ultimement une certaine démence
qu'ont les plus désesperés lorqu'ils se trouvent dans l'impossibilité de se défaire d'un essaim en perpetuel croissance de
tels bêtes horribles qui incisent avec leur mandibules une ouverture dans la peau afin de se gorger de sang. La route quoi que longue fût heureuse en se sens que le chemin vers ma premiere
destination qui est Press ne fut pas a l'image d'une profonde solitide puisque la circulation automobile était assez intense
pour éliminer cette peur qu'ont les gens perdus dans un endroit des plus inconnus. La traverse des ponts a une voie ne causa
pas de problêmes majeurs malgré ce vertige qui est omniprésent. De plus le gîte du lac Faillon (qui se trouve tout près de
Press a moins de 10 km's et sert de point de ravitaillement ) fût bondé de touristes americains qui me poserent de nombreuses
questions. Je dût du moins laisser comprendre que je suis un peu perdu ne sachant pas si je me rendra a destination. Et malheureusement
c'est ce qui c'est produit , soit le fait faire demi tour tout simplement par esprit de prudence puisque le frein arriere
ne fonctionnait plus.
Malgré le fait que je semble m'avouer vaincu, je ne rentre pas bédouille pour autant puisque
je décide de prendre le train et faire un arrêt a La Tuque question de me familiariser avec la riviere St Maurice et son environnement
de falaises. D'ailleurs la promenade en train est des plus révelatrice puisque c'est non seulement une promenade de plusiers
heures me permettant de découvrir une région de pays parsemé de lacs et de collines mais c'est aussi l'occasion d'avoir un
aperçu de l'étendu du feu de forêt qui détruisit complêtement une partie de la forêt a l'est de Press et le plus coquet des
batiments a rencontrer le long de la voie a l'arrêt de Forsythe, un batiment la construction dois provenir de l'époque de
de l'implantation de la voie ferré soit au début du 20ieme siecle..Faut du moins comprendre que c'est sinon plus passionant
de saisir une soupçon d'histoire pour donner plus de charme a la nature. Les arrêts aux noms des plus nébuleux se succedent; Monet , Clova , Oskélanéo , Parent , Manjobagues,
Sisco et autres deviennent des destinations soit pour débarquer des passagers et tout leur bagage lourd et même le bateau
souvent en pleine nature, soit prendre des gens qui curieusement ont souvent le teint foncé donnant plus d'exotisme a l'aventure.
Les paysages deviennent graduellement plus musclés avec des collines qui contrastent nettement avec la monotonie d'alors.
Finalement Survient La Tuque quelque 6 heures après mon embarquement. Cette petite muncipalité entouré de collines semble
se réveler tel un rêve pour tout passioné des paysages enchanteurs aux multitudes rivieres, lacs et collines qui graduellement
font place a ce qui ressemble a des montagnes dans le parc des Laurentides plus a l'est .
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